Ainsi la France ,vielle dame selon l'adage, s'est choisi un jeune homme qui aime les vieilles dames..
mais quid des truands qui avaient l'habitude de ses faveurs?.. là est la question
On nous dit que les idéologies sont dépassées et que les citoyens aspirent tous au changement..oui mais là ou çà coince c'est que les idéologies proposent des changements différents , c'est d’ailleurs la dessus qu'elles sont assises..
Ainsi vont la gauche et la droite ; les uns pour libéraliser , les autres pour encadrer , et ce n'est pas une mince affaire, les uns pour une démarche vers l'individu , les autres pour des actions collectives.
Ni de gauche ni de droite , moi je veux bien , mais il va falloir m'expliquer comment on va pouvoir faire une politique qui avantage les entrepreneurs libéraux en fluidifiant la gestion des personnels et garantir les revenus des travailleurs..tout çà sans l'intervention du contribuable ,qui lui est chargé d’éponger la dette par ailleurs..c'est la quadrature du cercle ! Et la pierre philosophale qui change le plomb en or reste a trouver..car je me refuse de croire que si une telle formule existait , les précédents dans le poste aurait rechigné a la mettre en place..
Reste les truands , qui eux ont une carrière a mener , vont ils accourir en masse se ranger derrière le conquérant aux législatives? ou prudemment rester dans leurs partis respectifs pour ,comme d'habitude, profiter le temps venu de l’échec des autres.. c'est la reine des position , celle qui prévaut depuis 70 ans..
Qui prendra le risque de quitter son poste dans un parti , pour tenter de se refaire une virginité sous la bannière nouvelle? sachant qu'il risque de se trouver dernier arrivant dernier servi...et qui financera sa campagne? quid de l’échec?
Bref , le plus dur reste a faire aller vers la cohérence qui veut que chacun essaie de s'imposer , et en avant pour le merdier habituel, sauf a revenir dans des territoires connus , a l'occasion des legislatives
mais quid des truands qui avaient l'habitude de ses faveurs?.. là est la question
On nous dit que les idéologies sont dépassées et que les citoyens aspirent tous au changement..oui mais là ou çà coince c'est que les idéologies proposent des changements différents , c'est d’ailleurs la dessus qu'elles sont assises..
Ainsi vont la gauche et la droite ; les uns pour libéraliser , les autres pour encadrer , et ce n'est pas une mince affaire, les uns pour une démarche vers l'individu , les autres pour des actions collectives.
Ni de gauche ni de droite , moi je veux bien , mais il va falloir m'expliquer comment on va pouvoir faire une politique qui avantage les entrepreneurs libéraux en fluidifiant la gestion des personnels et garantir les revenus des travailleurs..tout çà sans l'intervention du contribuable ,qui lui est chargé d’éponger la dette par ailleurs..c'est la quadrature du cercle ! Et la pierre philosophale qui change le plomb en or reste a trouver..car je me refuse de croire que si une telle formule existait , les précédents dans le poste aurait rechigné a la mettre en place..
Reste les truands , qui eux ont une carrière a mener , vont ils accourir en masse se ranger derrière le conquérant aux législatives? ou prudemment rester dans leurs partis respectifs pour ,comme d'habitude, profiter le temps venu de l’échec des autres.. c'est la reine des position , celle qui prévaut depuis 70 ans..
Qui prendra le risque de quitter son poste dans un parti , pour tenter de se refaire une virginité sous la bannière nouvelle? sachant qu'il risque de se trouver dernier arrivant dernier servi...et qui financera sa campagne? quid de l’échec?
Bref , le plus dur reste a faire aller vers la cohérence qui veut que chacun essaie de s'imposer , et en avant pour le merdier habituel, sauf a revenir dans des territoires connus , a l'occasion des legislatives
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