lundi 12 novembre 2018

TOUT LE MONDE VEUT QUE CA CHANGE? VRAIMENT?

Quelques réflexions pour démontrer que c'est faux...

Le président de la république française , quel qu'il soit, n'est que la partie immergée de l'iceberg administratif .
L’état , les syndicats ( a travers le paritarisme ), les régions, les communautés de communes ,les communes  , contrôlent tout .
L’état a des participations dans plus de 700 entreprises  des services marchands et si on faisait le compte des entreprises privées qui travaillent pour ces centres de décisions vous seriez surpris.. la moindre baisse budgétaire les mets en péril.

Nous vivons dans un société administrée ou la part laissée a l’initiative personnelle est très très limitée..  le marché est faussé par les aides et subventions, la concurrence n’étant plus a l'oeuvre , tout est stratifié.. les "fleurons " subventionnés stérilisent  le marché du travail, et les prélèvements tuent les salaires..
Et la croissance est (mal)assurée par la consommation subventionnée,ce n’est pas pour rien qu’on importe des pauvres.

C'est a ça qu'a abouti le voie qu'a suivi la France depuis 1981 , la négation de l'effort,  la destruction de la capacité  des citoyens a améliorer leur condition par le travail, la manipulation par l’éducation et la propagande partisane de gauche qui a vendu le collectivisme comme une solution a tous les maux...
Le fait est qu’économiquement cette construction basée sur l’égalitarisme marxiste ne fonctionne pas..
Ce  ne sont pas les exemples qui manquent.
Donc nous n’éviterons pas le chaos de l'implosion du système.
Car une société construite la dessus est irréformable  démocratiquement , ceux qui touchent étant plus nombreux que ceux qui payent.. Mais çà ne suffit plus , voir la bronca sur les  prix des carburants. ou la hausse de la csg.
Les assistés veulent plus , sans comprendre que si ils veulent plus il faudra qu'ils payent plus.

Le systeme va imploser.on ne peut pas vivre a crédit pour continuer une politique sociale qui ne convient même plus aux assistés..

La question n’étant pas est ce que çà arrivera , mais quand est ce que ça arrivera..

Les français ont troqué leur liberté contre des allocations, ils ne votent que contre la peur de la liberté, la peur de la responsabilité , la négation de l’effort , et la croyance en un égalitarisme  destructeur.
 Il faudra 2 générations pour guérir de çà, comme l’Allemagne de l’est

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