Comme d'habitude il n'est pas rare qu'on ne regarde pas au bon endroit quand on évalue une situation..
En matière de chômage , le problème vient du coût du travail et du montant /durée de l'indemnisation.
L'indemnisation est calculée de telle manière que cela sécurise tout le monde.. Les banques d'abord qui verraient d'un très mauvais oeil le manque de pérennité de leurs crédits.. La grande distribution qui tient a ce que les caddies soient pleins peu importe qui les paye.. bref tout ce circuit de la consommation..
Si on part du principe que quelqu'un au chômage se retrouve a avoir une baisse de revenu minimum (pour sauvegarder les intérêts de ceux que je viens de citer) pourquoi voulez vous que l'individu ne profite pas de cette période pour "s'offrir" un petit congé sabbatique , ou un break bienvenu.. c'est logique..
De plus le quotient familial n'entrant pas en compte dans le calcul des indemnités , ceux dont le conjoint a des revenus conséquents n'en ont plus rien a péter et s'occupent de leurs enfants..et font des formations fantaisistes histoire de s'occuper
On veut bien sur avoir un travail et un salaire équivalent sur le même palier que le poste précèdent..
Ce qui conduit inévitablement a la faillite du système..
La solution?
c'est une refonte globale
Limiter a 8 mois l'indemnisation ( vous verrez si çà ne va pas bouger un peu plus) avec un montant plafonné a 3000 euros
Prendre pour base de calcul le revenu du foyer , au delà d'un certain seuil pas d'indemnisation..
Avec une mesure pareille , le chômage baissera de 4 poins en 2 ans de la a dire que ce serait politiquement acceptable c'est une autre paire de manches , mais au moins qu'on arrête de pleurnicher
En matière de chômage , le problème vient du coût du travail et du montant /durée de l'indemnisation.
L'indemnisation est calculée de telle manière que cela sécurise tout le monde.. Les banques d'abord qui verraient d'un très mauvais oeil le manque de pérennité de leurs crédits.. La grande distribution qui tient a ce que les caddies soient pleins peu importe qui les paye.. bref tout ce circuit de la consommation..
Si on part du principe que quelqu'un au chômage se retrouve a avoir une baisse de revenu minimum (pour sauvegarder les intérêts de ceux que je viens de citer) pourquoi voulez vous que l'individu ne profite pas de cette période pour "s'offrir" un petit congé sabbatique , ou un break bienvenu.. c'est logique..
De plus le quotient familial n'entrant pas en compte dans le calcul des indemnités , ceux dont le conjoint a des revenus conséquents n'en ont plus rien a péter et s'occupent de leurs enfants..et font des formations fantaisistes histoire de s'occuper
On veut bien sur avoir un travail et un salaire équivalent sur le même palier que le poste précèdent..
Ce qui conduit inévitablement a la faillite du système..
La solution?
c'est une refonte globale
Limiter a 8 mois l'indemnisation ( vous verrez si çà ne va pas bouger un peu plus) avec un montant plafonné a 3000 euros
Prendre pour base de calcul le revenu du foyer , au delà d'un certain seuil pas d'indemnisation..
Avec une mesure pareille , le chômage baissera de 4 poins en 2 ans de la a dire que ce serait politiquement acceptable c'est une autre paire de manches , mais au moins qu'on arrête de pleurnicher
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